Ravage | ||
|
Club | jeudi 17 avril 2025 |
|
Production Nage Libre |
Ravage |
|
Énergie directe et ultra puissante, pour ce power trio. Deux violons rageurs pour revisiter le rock façon minimal-psyché, une batterie massive pour enfoncer le clou. Et avancer, par secousses, répétitions et salves supersoniques, balancées à hue et à dieu. Marteaux, sans maître, les trois activistes ont la folie cogneuse. Alliant le doom metal à l’électroacoustique, la danse joyeuse à la décharge la plus furieuse. « C'était une odeur de monde qui naît ou qui meurt, une odeur d’étoiles. », avouait Barjavel dans son roman, Ravage. Ce Ravage-ci les connaît lui aussi, ces mondes de vie et de mort qu’induit toute improvisation collective. Quant aux odeurs d’étoiles, loin d’être douteuses, elles sont bigrement doublées de fragrances de soufre et de cave à charbon. 1ere partie Conservatoire : atelier d’improvisation libre de la classe de jazz du Conservatoire encadré par Jérémy Baysse |
Ravage | 20h45 |
|
Ravage | Concert |
Club |
Plein Tarif : 12 € Tarif réduit : 10 € Carte Culture : 8 € Tarif adhérents : 8 € Bourse spectacles : 3.5 € |
Production Nage Libre |
![]() |
Ravage |
|
||||
Énergie directe et ultra puissante, pour ce power trio. Deux violons rageurs pour revisiter le rock façon minimal-psyché, une batterie massive pour enfoncer le clou. Et avancer, par secousses, répétitions et salves supersoniques, balancées à hue et à dieu. Marteaux, sans maître, les trois activistes ont la folie cogneuse. Alliant le doom metal à l’électroacoustique, la danse joyeuse à la décharge la plus furieuse. « C'était une odeur de monde qui naît ou qui meurt, une odeur d’étoiles. », avouait Barjavel dans son roman, Ravage. Ce Ravage-ci les connaît lui aussi, ces mondes de vie et de mort qu’induit toute improvisation collective. Quant aux odeurs d’étoiles, loin d’être douteuses, elles sont bigrement doublées de fragrances de soufre et de cave à charbon. 1ere partie Conservatoire : atelier d’improvisation libre de la classe de jazz du Conservatoire encadré par Jérémy Baysse |